« La boule Poussannaise » a vécu un superbe week-end qui s’est soldé par une victoire étincelante de la paire Christophe BERDINEL et Patrick MARTINEZ lors des éliminatoires du championnat départemental en doublette du secteur de SÈTE.
Mais les festivités passées il fallait bien tout remettre en ordre.
Le président VICENS en tête, André et Bernard LAFOND, Jojo et Chichou, se sont mis au travail. Toutes les cordes délimitant les jeux ont été enlevées au complexe sportif et les locaux du rugby et du tambourin ont été mis au propre. Les détritus ont été ramassés autour du complexe car quand on prend propre on rend propre, telle est la devise de la pétanque. Le club adresse un grand merci à ces trois associations qui avec une grande gentillesse permettent à « la Boule Poussannaise » de pouvoir œuvrer avec tranquillité.
Puis vint le jardin public et le siège du club. Donc dès lundi soir tout était nickel sauf les reins et l’usure du week-end. Tout le monde avait une bonne et saine fatigue.
Dès le mardi soir, le vent s’était levé et depuis, même si le soleil est présent, la froidure se fait ressentir. Quelque chose allait se passer mais à « la Boule Poussannaise » l’on cherchait la raison d’un tel revirement du système climatique.
La réponse nous a été donnée en ce mercredi. Jérôme DOAT avait pris le balai et il s’est époumoné à nettoyer le local. Sauf que c’était fait depuis 2 jours !
« Le Jérôme il nous en a fait une belle et tout le monde s’est écroulé de rire. » Précise Joël.
« Figure emblématique de « la Boule Poussannaise », Jérôme était parti animé par un bon sentiment. Enfin tout le monde l’espérait. Mais non et que non. Certes Jérôme a été surpris avec un balai à la main mais en fait, il avait perdu la tulipe de sa cigarette électronique et ne la retrouvant pas, il avait pris le balai pour la récupérer. Comme, quoi, avoir un balai à la main ne signifie pas nettoyer. Et le plus hilarant c’est que la tulipe il ne se rappelait plus qu’il l’avait mise dans son porte-monnaie. Comme quoi le Jérôme, il vit super bien et se fait un plaisir de passer ses après-midis au siège du Club.
« Merci Jérôme, tu peux rester comme tu es. » Rajoute Joël.