ZOOM – « FORMULEX » (1989)… suite et fin.
« … Les rides du destin sont plus profondes
. Chez ceux qui n’ont pas peur
de capter les ondes sans lendemain ».
A travers cet exercice virevoltant, André espère répondre par la poésie et l’humour à l’oppressante réalité du temps présent. Après la splendide exposition au foyer des campagnes en 2012, il nous offre aujourd’hui une vision pleine d’espoir, par delà les murs du confinement.
Le service culturel remercie André Cervera pour ces jolis moments !