Florence Guy va exposer à Montbazin

mtb 28 7 17CaptureNée le 24 novembre 1986 à Montpellier, Florence GUY est attirée très tôt par le dessin et toutes les disciplines picturales. Réalisant des portraits dessinés très fidèles et étant depuis toujours fascinée par l’expression et le réalisme des statues, elle se lance dans la sculpture à l’âge de 18 ans. Ce don lui permet de modeler avec force et sensibilité des hommes, des femmes, des couples élancés et des bustes figuratifs et expressifs.

Autodidacte, elle réalise un certain nombre de pièces sculptées pour des particuliers, associations et collectivités publiques. Après avoir créé le buste de « Blanchette »* en 2005 pour le 50ième anniversaire de sa mort, elle réalise un buste de Jean Paul II, aujourd’hui exposé dans l’Allée qui porte son nom à côté de l’église St Jean-Baptiste (XIIème) de Castelnau-le-Lez.

Depuis 2005, elle crée chaque année le « Lez d’Or », trophée du festival régional de Théâtre « Festilez ».
En 2006, elle crée une sculpture symbolisant l’harmonie et l’alliance entre les peuples qui sera choisie par la ville de Castelnau-le-Lez comme cadeau lors du 25ième anniversaire du Jumelage avec Plankstadt (Allemagne).

Après l’obtention d’une licence en Arts Plastiques en 2007, Florence donne des cours de sculpture en structure associative, et depuis 2010, anime des stages proposés par le Service Orientation Jeunesse de la Ville de Castelnau-le-Lez pour des groupes d’enfants et adolescents.

Aujourd’hui installée sur la commune du Crès, elle dirige divers ateliers de dessin, peinture et sculpture au sein de l’association « Aletheia Atelier d’Art ».
En 2012, elle intègre une école d’animation 3D et d’effets spéciaux numériques, ARTFX, où elle enseigne le volume.

Pour Florence : « L’Etre » est au centre de mon projet sculptural. « Etre » signifie apparaître en s’épanouissant, sortir de l’occultation. La terre est un matériau de prédilection pour faire surgir au paraître, pour arracher à l’ombre, au bloc une idée, un mouvement, une attitude, une expression, une présence. »

Florence fait naître de la terre, des visages, des formes et des corps nus où s’harmonisent courbes, tendresse et volupté.

Ce jeu de contrastes, entre abstrait et figuratif, vides et pleins, rugueux et lisse, ombre et lumière, reflète une recherche d’harmonie entre la matière et le corps en mouvement.

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