Michel et sa famille toujours fidèles à Poussan

Christelle et Michel Brilloit, deux habitants de Mons en Belgique, espèrent toujours, année après année, devenir des citoyens d’Honneur de Poussan. Ils en sont tombés amoureux en 1980 et depuis, cela fait 36 ans, malgré quelques incursions dans d’autres Régions, c’est l’atmosphère de Poussan et sa situation géographique qui leur réussissent le mieux.Screen Shot 08-02-16 at 08.49 PM

Il fut un temps où pour les congés scolaires , ils n’hésitaient pas à venir prendre un bol d’air dans la commune, chez leurs amis ou au camping du Garel dirigé par madame Devuyst depuis 40 ans, une Liégeoise.Tous les 2 éducateurs, ils sont tombés amoureux du bassin de Thau avec ses fêtes, ses plages, ses garrigues  et ses cigales, sa nature et son ciel bleu… Il y a très longtemps qu’ils l’apprécient. D’ailleurs cette année, peu de sorties à la journée mais plutôt des participations aux fêtes locales à ou autour de Poussan : Fiest’à Poussan, la fête locale, les Médiévales de Balaruc, le Festival de Thau…Sète… Pas besoin d’aller bien loin pour trouver son bonheur.

Si dans la journée la plage leur a procuré beaucoup de plaisir, une seule fois ils l’ont rendue jalouse en allant aux Baux de Provence.

Cet été, leur caravane est encore restée à l’ombre des arbres qu’ils ont vu grandir, près de la rivière. Ils se sentent chez eux et retrouvent avec plaisir en période estivale des amis de longue date avec qui ils partagent des moments inoubliables durant lesquels le temps suspend son vol…

Screen Shot 08-02-16 at 08.50 PMA Poussan aussi, la famille Jésionka et celle de  Michel Rustan côtoient les « Brilloit » qui sont très sympathiques. De parties de boules en repas, de soirées en balades, rien ne pourrait les séparer, même pas les kilomètres car ils essayent de se retrouver autant que faire se peut.

Et Michel nous confie : « Ce soir, nous partons et Marius, notre fils, va pleurer jusqu’à ce qu’il s’endorme. Il quitte un de ces endroits où il s’est fait des amis, où il a grandi. Pour nous aussi, c’est un déchirement, nous avons un pincement au cœur, mais nous savons que le temps passe vite et qu’en 2017, nous nous retrouverons au Garel avec beaucoup de bonheur. A l’an prochain et toujours en forme. »

A bientôt Michel, Christelle et Marius.

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